• ... Qui témoigne de la gentillesse de "l'Ami Georges".

    B-Les Amis de Georges

    L'auteur du livre "Brassens passionnément", Georges Boulard,

    y raconte comment il a fait la connaissance de Georges Brassens.

    C'était en septembre 1981, grâce à Gaston, qui s'était trompé de porte !

    livre sur brassens

    *Merci à Christian Fouinat pour ce document.

     

    Un petit montage "des copains d'abord" ↓

     


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  •     Guy n.bl..   

    7emeépisode Guy BOURGUIGNON :       

     


      Effectivement, Guy ne sera pas remplacé au sein des Compagnons de la Chanson ! Au début de l’année 1970, ceux-ci se retrouveront même à huit sans pouvoir continuer à s’appuyer sur ce qui faisait leur force. Cette organisation d’un 3 X 3 bâtie autour de trois basses, trois barytons et trois ténors qui, au plan décisionnel, avait la faculté de toujours pouvoir réunir une majorité d’au moins cinq voix sur neuf. Sa disparition aura même d’autres conséquences, privant également le groupe d’une voix de basse et l’équipe d’un régisseur et metteur en scène de poids.

     

    Il faudra effectivement quelques mois à l’ensemble pour surmonter cette disparition et repenser à une redistribution des rôles. En premier lieu lors des séances d’enregistrement durant lesquelles s’exerçait tout le talent de Guy. On verra alors se mettre en place, progressivement, une nouvelle hiérarchisation des attitudes et des comportements qui n’auront plus qu’une lointaine ressemblance avec l’organisation très cum panis des débuts, et un esprit auquel, on l’a vu, le Périgourdin était très attaché. Au 3 X 3 suivra un 4 X 2 : ceux de devant s’opposant souvent à ceux de derrière !

     

      Ce n’est un secret pour personne de ceux qui l’ont connu, Guy Bourguignon, par ailleurs excellent musicien, était un phare, un idéaliste qui s’impliquait énormément dans ce qu’il faisait. Comme peuvent en témoigner ses nombreuses réalisations cinématographiques, car si cet homme passionné n’avait pas été Compagnon de la Chanson, il aurait à coup sûr été cinéaste. Son reportage : « Quarante mille kilomètres avec les Compagnons de la Chanson » diffusé dans le cadre d’un Cinq Colonnes à la Une de Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet, Pierre Lazareff et Igor Barrère et commenté par la comédienne Françoise Dorin en est une autre preuve manifeste.

     

    Indiscutablement, Guy restera pour la postérité, l’une des figures les plus attachantes des Compagnons de la Chanson. L’un de ceux, aussi, à propos duquel, on ne savait que peu de choses. Car l’homme était volontiers secret et peu enclin à se livrer et à se mettre en avant, à parler de lui.

     

    En avril 2011, le quotidien régional Sud-Ouest, par la plume de son chroniqueur Alain Bernard, consacrait un article à ce Compagnon de la Chanson périgourdin disparufinalement très peu connu et que beaucoup aujourd’hui confondent encore avec l’autre Périgordin de l’équipe : Jean Albert dit Le P’tit Rouquin qui avait acquis à un moment donné une maison pour ses parents du côté de Négrondes, une demeure à laquelle il avait donné le nom des Trois cloches ! De ses unions successives, Guy laisse trois enfants : Jean-Michel, Alain et Jacques. Jacques dont se souvient parfaitement l’acteur Roland Giraud. Les deux jeunes gens avaient eu l’occasion de fréquenter le même lycée et le comédien se rappelle encore de ses visites dans la maison des Bourguignon en Périgord ainsi que des tournées des Compagnons de la Chanson. Lorsque Guy venait chercher son fils à l’école, il ne passait d’ailleurs pas inaperçu.

     

    Jean-Michel qui vit à Coulaures, en Dordogne, dans la maison familiale assistait dernièrement à Périgueux, à la présentation d’une biographie publiée récemment chez Decal’Age Productions Editions. Il se souvient encore avoir suivi quelques jours certaines des tournées des Compagnons avec son père et on imagine sans peine ce que tout cela pouvait représenter pour un adolescent. Il se souvient également des autres aspects d’un père qui savait apprécier aussi les parties de pétanque et de pêche ou de belotte qu’il aimait pratiquer pour se ressourcer du côté de Mayac en Dordogne. Un endroit où ses nombreux échanges avec ses voisins en faisaient une personnalité fort appréciée. Comme à Ville d’Avray quand il faisait ses courses, son panier à la main, il avait toujours un mot gentil pour tout le monde et les commerçants l’adoraient.

     

    Merci à Louis Périac (Décal'Age productions) pour cette biographie de Guy Bourguignon.


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  • Fred Mella et Les huit Compagnons

    Une fois de plus Fred Mella s'est surpassé ce vendredi soir à Audincourt après une première partie un peu trop courte, assurée avec brio par le groupe vocal "Les huit Compagnons"

       audincourt le 15.06.2012 013  

    Sous les applaudissements il entonne Qu'il fait bon vivre, qui d'emblée donne le ton à son fabuleux spectacle ! Un extraordinaire moment que nous offre cet éternel jeune homme de 88 ans en super forme, sa voix méritait plus que jamais l'appellation "voix d'or" son timbre d'une sonorité claire, puissante et chaude résonne avec bonheur dans la salle.

    Interprétée comme à l'opéra vient ensuite l'Ave Maria

    Edith Piaf ne regrette rien à la fin de La grande dame

    La chanson de son ami, Les comédiens la suit

    Puis il rend hommage aux femmes avec une évocation de Georges Brassens, qui lui manque beaucoup

    Après quoi il fait ramer Le galérien qui précède Les souliers

    Vient l'évocation de ses camarades Les Compagnons de la chanson avec la présentation de chacun au moyen de leur première affiche projetée sur un écran, suivi de quelques-uns de leurs succès que Fred chante joyeusement (Gondolier - Marie-Joconde - Vénus - Bras dessus bras dessous - Verte campagne et Si tu vas à Rio)

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    Et c'est avec un brin de nostalgie que Fred entonne avec eux Ce n'est pas un adieu

    La mamma lui rappelle ses parents

    Avec Le petit oiseau joli il fait chanter les spectateurs

    Il interprète alors avec verve Sa jeunesse

    Derrière cela, à sa demande tout le monde chante le refrain de Je reviens chez nous

    Et voilà que résonnent déjà Les trois cloches

    Y fait suite Parlez-moi d'amour a capella, signe de fin de sa remarquable prestation, enfin presque...

    Puisque reviennent sur scène Les huit Compagnons avec lesquels il partage la joie d'interpréter Mes jeunes années & Le marchand de bonheur.

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    A voir Fred au milieu des Huit Compagnons on se croit revenir 27 années en arrière... retrouvant ainsi l'image de scène de nos chers Compagnons de la chanson.

    Toute la salle debout scande haut et fort: une autre...une autre...une autre aussi reprennent-ils ensemble Je reviens chez nous et "notre Marchand de bonheur" y prend un grand plaisir.

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    Pendant 55ans Les huit Compagnons ont suivi les traces des Compagnons de la chanson, non seulement en chantant leurs chansons, mais également par leur gentillesse et leur amabilité; ils ont accueilli notre petit groupe avec chaleur et sympathie.

    Cette belle soirée est passée bien trop vite, mais il reste des souvenirs plein notre tête.   


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  • Guy Bourguignon-6ème partie 

    6emeépisode Guy BOURGUIGNON :

     

    Cela a été maintes et maintes fois répété : au sein d’un groupe comme les Compagnons d
    e la Chanson s’étaient créées des complicités voire même des affinités. Et l’amitié de presque vingt ans de Jean Broussolle et de Guy Bourguignon est restée dans les esprits de nombre d’observateurs et de chroniqueurs musicaux. Il est vrai que beaucoup de choses rapprochaient les deux hommes. L’un, était fervent partisan de la chanson animée à la mode Liébard et l’autre, concepteur de sketches comme Les Perruques, Jour de fête en Louisianeou de quelques autres réussites, auxquels Guy consacrera beaucoup de temps en qualité de metteur en scène averti. C’est d’ailleurs grâce à ces sketches souvent empreints d’humour, que les Compagnons de la Chanson traverseront les modes. Guy en était conscient dès les premières années, lorsqu’il s’attachait à régler avec minutie leurs pitreries comme dans Les perruques où son numéro détonait !

     " Ses trouvailles scéniques furent nombreuses, originales, rarement contestées et chaque fois que nous créerons un sketch nouveau, nous nous pourrons nous empêcher de l’évoquer. Il nous a laissés de belles empreintes..."Hubert Lancelot, dans la toute première biographie qu’il a consacrée aux Compagnons de la Chanson, n’est pas le moins élogieux sur les qualités de son ami de la première heure Guy. Un extrait des Perruques, le sketch évoqué précédemment que l’on peut visionner sur Youtube, donne une idée de l’ingéniosité de Guy et un aperçu de son talent dès lors qu’il fallait donner la répartie au facétieux Gérard Sabbat !

    Avant de les quitter fin 1972, Jean Broussolle, fatigué et déstabilisé par la disparition de l’un des hommes-clé de l’équipe, rendra d’ailleurs un hommage appuyé à son ami. Nul doute que cette disparition ait pu peser de tout son poids dans la décision ultérieure du Camarguais de quitter les Compagnons deux ans plus tard !

    « Guy Bourguignon nous a quittés,écrira-t-il au moment de sa disparition,entre ces cours et ces jardins de théâtre où jamais autre fleur ne poussa que celle tendrement bleue qui fleurit dans le cœur des gens du voyage, nous avons partagé avec lui l’allégresse des grands soirs, l’émotion des premières, la lassitude des fatigues, la tristesse des deuils et les joies d’une belle aventure… Quand nous plaisantions sur une éventuelle dissolution de notre groupe, Guy répondait immanquablement que si, de nous tous, il ne devait rester qu'un Compagnon, il serait celui-là ! Compagnon de la première heure, il était écrit que le destin lui interdirait de tenir sa promesse. Le premier arrivé, le premier démaquillé, le premier reparti, il fut toujours le plus pressé, cherchant à assouvir on ne sait quelle soif de vivre et de découvrir... Sur les aéroports, aucun de nous ne réussissait jamais à pénétrer dans un avion avant lui, malgré toutes les ruses employées... »

    « Ce 30 décembre, le monde du music-hall français est en deuil ! Guy Bourguignon, l’un des plus anciens Compagnons de la Chanson est mort ce matin des suites d’une longue maladie à l’Hôpital Foch. Il avait quarante-neuf ans et au milieu du groupe, on le reconnaissait facilement… »

    A la veille du Nouvel An 1970, alors que les Compagnons sont sur le point d’honorer un contrat au Théâtre de l’Ancienne Comédie à Bruxelles, la nouvelle fera vite le tour des radios et des salles de presse. A Bruxelles, lors de leur représentation, les huit autres Compagnons de la Chanson ne feront aucune annonce sur scène obéissant à la dure loi du spectacle qui veut que l’acteur taise sa douleur devant un public qui a payé sa place.

    Décédé d’une septicémie, Guy Bourguignon était hospitalisé depuis trois semaines et demie à l’Hôpital Foch de Suresnes après s’être plaint de l’estomac. Sur le point de partir en tournée avec ses amis, il n’avait voulu alarmer personne. Et personne n’imaginait que surviendrait une hémorragie en plaque de la paroi stomacale qui le condamnerait aussi vite ! Si ses dernières apparitions laissaient supposer qu’il se passait quelque chose, personne ne s’attendait cependant à un pareil dénouement. Certes, Guy était fatigué. Sous anticoagulant depuis trois ans, ses traits s’étaient empâtés et après une thrombose de l’œil, sans doute due à une consommation excessive de tabac et à une hypertension artérielle, il arborait constamment de grosses lunettes qu’il ne quittait plus. Même en représentation. En novembre 1969, il avait, une fois encore, participé à un Télé-Dimanche puis, quelques jours plus tard, à l’émission Salves d’Or enregistrée pour la première chaîne. Dans celle-ci, il était   apparu grimé en soldat avec une pipe à la bouche.

    Son ami Hubert Lancelot a évoqué dans son Nous les Compagnons de la Chanson publié en 1989 chez Aubier et Archimbaud les derniers jours de l’homme. « Persuadé que ce n’était qu’une affaire de quelques jours,écrit l’historiographe des Compagnons, j’apprenais soudain que Guy était condamné alors que, la veille encore, il était à une répétition à discuter et à s’exciter comme d’habitude ! » Les

    Compagnons, sur le point de changer de répertoire avec un nouveau succès : Angelo, avaient mis la barre très haut afin de garder une nouvelle fois le cap... et la confiance de leurs admirateurs ! Guy avait demandé à Hubert de ne pas en parler aux autres, soucieux de leur épargner la vue d’un homme diminué. Quelques années plus tard, le processus se reproduira avec Jean-Louis Jaubert au moment des obsèques de son épouse Marie-Pierre ! Comme si ces Compagnons de la Chanson avaient souhaité rester seuls devant la mort sans que l’on mesure leur émotion.

     


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  • Pas mal de temps a passé depuis le 4ème épisode de l'article-portrait, concocté par Louis Pétriac, concernant Guy parti bien trop tôt, mais toujours resté dans le coeur de tous, en particulier ses camarades Les Compagnons de la chanson

    Ce sont les impératifs de dates et autres articles-spectacles... qui m'ont obligé à décaler cette série très intéressante, nous apprenant beaucoup sur ce Compagnon au grand coeur.

    Papa Harcourt Paris-ok-5

     

    5èmeépisode Guy BOURGUIGNON :

     

      Avec ce sens de l’organisation qu’on lui a prêté, et surtout son côté intellectuel, il n’en fallait pas davantage pour que Guy Bourguignon s’oppose à Edith Piaf ! Ses divergences avec la bienfaitrice des jeunes Compagnons lui vaudront souvent d’être habillé pour l’hiver ! Sans doute pour avoir ravi à Edith la jeune Ginou Richer devenu pour un temps secrétaire de la grande chanteuse.

       La rencontre de Guy avec la très jeune Cannoise Ginette Richer est restée dans tous les esprits… Elle-même, y reviendra bien plus tard dans la rédaction de ses mémoires. Alors qu’elle se promenait aux Champs-Élysées, des désirs de liberté plein la tête, elle s’était rendue compte que quelqu’un la suivait depuis un bon moment. Sans savoir que son nouvel admirateur était Guy, et qu’il était jeune Compagnon de la Chanson. Elégant et plein de classe, il lui fera cependant la cour de façon un peu leste en lui déclarant avoir été foudroyé par ses yeux verts. Avant de s’excuser et de se présenter à elle.. Admiratrice éperdue de Fréhel, de Damia et de Piaf, que la jeunette entendait souvent avec les Compagnons de la Chanson à la radio avec les Trois cloches, leur rencontre était une véritable aubaine. Comme Ginette, que Piaf rebaptisera un peu plus tard du nom de Ginou, elle ne songeait qu’à approcher celle qu’elle vénérait, et elle laissera donc Guy la revoir pour donner une suite à ses objectifs. Dès le lendemain.     

    C’est sans doute son goût pour les surnoms originaux dont elle aimait affubler ses proches, qui avait incité Edith à surnommer Guy "La bête". Vraisemblablement par opposition à "La belle" Ginou que le jeune Périgourdin avait séduit. Comme si elle lui en avait voulu de s’être lié sentimentalement à sa très jeune secrétaire, et plus encore pour avoir des facultés intellectuelles que la grande artiste n’avait pas. Le point d’orgue de ces divergences de Guy avec la grande Piaf interviendra durant la première tournée américaine des Compagnons de la Chanson en octobre 1947 à New York.

    « Nos critiques sont meilleures que celles d’Edith mais je ne sais pas si je dois m’en réjouir », écrira Guy dans une lettre adressée à Ginou, évoquant le « flop » de la prestation d’Edith au Play House Theater. Des lignes qu’Edith Piaf aura du mal à digérer à un moment difficile de sa longue carrière alors que Jean-Louis Jaubert lui échappait et qu’elle avait entrepris de se consoler dans les bras d’Eddie Lewis. Une brouille légère suivra qui, d’après Hubert Lancelot, incitera Piaf à poursuivre seule sa tournée américaine sans les Compagnons.

    Mais comment ne pas revenir sur le profil de Don Juan de Guy et sur les multiples aventures du galant homme qu’il savait être avec la gent féminine.

    Après Ginou, des femmes et des amours, Guy en connaîtra d’autres. L’ancienne vedette Odette Laure se souvient de ce qui l’avait séduit au début des années cinquante chez cet homme brillant, hors du commun dont elle avait fait la connaissance quelques années plus tôt lors d’une première tournée entreprise en Alsace avec Edith Piaf. "Il avait, écrira-t-elle dans un ouvrage,toutes les armes de la séduction : l’intelligence, la taille, l’œil de velours, la culture…" On était donc à mille lieues du personnage qu’Edith Piaf avait baptisé du nom de « bête ».

    Dans la dernière biographie consacrée aux Compagnons: Entre mythe et évidences, Mimi Lancelot, l’épouse d’Hubert s’amuse encore d’une anecdote qui donne une idée de la façon dont Guy s’empêtrait dans ses liaisons avec toutes celles qui faisaient battre son cœur. Une anecdote qui remonte au début des années soixante, peu de temps après que les Compagnons aient choisi de quitter Columbia pour enregistrer chez Polydor.  

    « Alors que les Compagnons s’apprêtaient à honorer un contrat en Belgique et qu’ils étaient descendus à l’Hôtel Amigo à Bruxelles,se souvient-elle, Guy s’était arrêté en chemin à Lille, pour soi-disant récupérer chez un brocanteur une batterie de casseroles en cuivre qu’il destinait à sa nouvelle maison de Tourrettes-sur-Loup. Finalement, arrivés à Bruxelles avant lui, nous apprendrons à la suite d’une gaffe de l’un des messagers de l'hôtel, qu’il avait donné rendez-vous à une demoiselle qu’il devait accueillir à la Gare de Lille, mais que celle-ci avait raté son train ou sa correspondance. Lorsqu’ils le retrouveront un peu plus tard, Mimi le chinera en lui disant que sa série de casseroles de Lille avait prévu de les retrouver à sept heures ! Finalement,s’amuse Mimi,nous n’aurons jamais l’occasion avec Hubert de voir de près à quoi ressemblaient ces fameuses casseroles car nous ne verrons jamais la demoiselle ! » 

    Mimi conserve aussi de Guy un autre souvenir, celui d’un homme déjà mûr qui savait parfois s’interposer entre celui qu’elle allait épouser : Hubert Lancelot et elle. Alors qu’elle était devenue Compagnonne de la Musique dans le groupe de Louis Liébard et que le jeune gone déployait une offensive de charme pour tenter de gagner ses faveurs.

     

      Je mettrais la 6ème partie en ligne le vendredi 15.

     


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